Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Djurdjura Club de Boghni
Articles récents

Rachid Kojak:Le supporter number one du DCBoghni

7 Juin 2011 , Rédigé par dcboghni.over-blog.com Publié dans #sport

DSC00605

Lire la suite

DCBboghni 3 CRBTO 1:BIMO le sponsor

7 Juin 2011 , Rédigé par dcboghni.over-blog.com Publié dans #sport

DSC00618

Lire la suite

La Classe et finesse du Capitaine T.Mahdi

7 Juin 2011 , Rédigé par dcboghni.over-blog.com Publié dans #sport

DSC00611

Lire la suite

DCB boghni 3 CRBTO 1:UN DCB flomboyant

7 Juin 2011 , Rédigé par dcboghni.over-blog.com Publié dans #sport

Pour la mise à jour de la 24ém journée le DCBboghni a disposé de son vis à vis le CRBTo par 3 à 1 avec l'art et la maniere.pourtant c'est le crbto qui parvenait à ouvrir la marque par l'intermediaire de zidane à la 29 min,mais Amouchi nivela le score à la 30 min sur un penalty suite à un fauchage d'un joueur de boghni.au retour des vestiaires le dcb prenait l'ascendant par SAIDI à la 46 min d'un tir lobé.par la suite suite à une domination territoriale une chevauchée du junior Loutani celui ci aggrava le score,c'etait à la 75 min.a signaler le fair play qui a caracterisé la partie.DSC00615

Lire la suite

Le festival du Maroc

5 Juin 2011 , Rédigé par dcboghni.over-blog.com Publié dans #sport

Le Maroc a fait un grand pas vers la qualification pour la CAN 2012 en disposant de l'Algérie (4-0) ce samedi à Marrakech. Les Lions de l'Atlas ont pris une revanche éclatante après le match aller perdu à Annaba. Les hommes d'Eric Gerets prennent la tête du groupe D avec trois points d'avance sur les Fennecs, sonnés par la démonstration des Marocains.

Les Marocains ont largement dominé l'Algérie. (Reuters) Les Marocains ont largement dominé l'Algérie. (Reuters)

Il y avait de la revanche dans l'air. Et les Marocains l'ont prise sans discussion aucune. Deux mois après une défaite sur un penalty litigieux à Annaba, le Maroc a disposé facilement de l'Algérie (4-0) ce samedi, lors de la 4e journée des éliminatoires de la CAN 2012. Dans le stade flambant neuf de Marrakech, loin de la ferveur de Casablanca ou Rabat, les Lions de l'Atlas ont pourtant transporté leurs supporters dans l'allégresse après une partie maîtrisée dans les grandes largeurs. Dans le sillage d'un Medhi Benatia omniprésent, la sélection marocaine a parfaitement muselé les velléités algériennes pour s'offrir une victoire importante en vue de la qualification et d'un billet pour le Gabon et la Guinée équatoriale.

Ce succès place les hommes d'Eric Gerets en position favorable dans un groupe D très serré. Avant les deux derniers matches au programme (un déplacement en Centrafrique avant de recevoir la Tanzanie), les Marocains comptent désormais trois points d'avance sur l'Algérie. A la lecture de la physionomie de la rencontre, cet écart est mérité. Depuis le début du rassemblement, le sélectionneur belge avait insisté sur l'envie de ses joueurs. Une détermination qui s'est exprimée sur le terrain face à une sélection algérienne trop timorée pour exister. Medhi Benatia, le talentueux défenseur de l'Udinese, ouvrait logiquement le score avant la demi-heure de jeu en poussant au fond des filets un ballon dévié sur un corner (1-0, 25e).

Le joueur formé à Marseille et passé par Lorient délivrait ensuite une passe décisive pour Marouane Chamakh qui doublait la mise d'un plat du pied au ras du poteau (2-0, 36e). Youssouf Hadji, absent lors du match aller en Algérie et si précieux dans le jeu des Marocains, aggravait le score en partant à la limite du hors-jeu pour tromper le pauvre Mbohli (3-0, 60e). Le public ne tenait plus en place et assistait, admiratif, à la dernière réalisation du match, un but plein de technique et de finesse signé Oussama Essaidi, qui s'est joué de la défense algérienne avant de marquer dans un angle fermé (4-0, 72e). Gerets, heureux sur le bord du terrain, pouvait savourer le sentiment du devoir accompli.

Lire la suite

Mise à jour:KCT 2 DCB boghni 2

3 Juin 2011 , Rédigé par dcboghni.over-blog.com Publié dans #sport

Dans une rencontre sans importance au vu de l'accession du DCB en regionale 2.à cet effet le duo amirou ali kadri s'est presenté à tagmount azzouz avec un effectif rajéuni.à la mitemps le score s'est soldé par 1 but partout.au retour des vestiaires le DCB mena par 2 but à 1 jusqu'a l'ultime seconde des temps morts pour voir le KCT revenir à egalité.

Lire la suite

Bactérie Eceh, très résistante, continue à semer la mort en Europe

3 Juin 2011 , Rédigé par dcboghni.over-blog.com

1530705_3_0a8c_sur-un-marche-de-malaga-en-andalousie-lundi.jpgLa bactérie Eceh qui sévit en Europe a été identifiée jeudi comme étant une souche "très rare" et résistante aux antibiotiques, et le bilan de l'épidémie s'est alourdi à 18 morts, presque tous en Allemagne.
Pendant que les recherches se poursuivaient avec intensité pour déterminer l'origine de la contamination, l'OMS a indiqué que la souche n'avait "jamais été vue dans une épidémie auparavant".
Une équipe de chercheurs de Hambourg (nord) a, au terme d'un séquençage du génome réalisé avec une société chinoise, parlé d'une "nouvelle souche" particulièrement agressive et résistante à toute une batterie d'antibiotiques, "ce qui rend le traitement antibiotique extrêmement difficile", selon elle.
La bactérie serait d'après les analyses réalisées par plusieurs équipes un hybride, renfermant des gènes de deux bactéries E.coli différentes.
Dans les hôpitaux allemands, qui faisaient face à environ 2.000 cas jeudi, les difficultés persistaient à trouver un traitement adéquat.
L'Allemagne a annoncé un nouveau décès, une femme de 81 ans qui a succombé dans un hôpital de Hambourg. Le bilan passe ainsi à 17 morts dans le pays, et 18 au total avec celui annoncé en Suède mardi.
Après les Pays-Bas et d'autres Etats, la Grande-Bretagne a à son tour signalé des cas de contamination, tous liés à l'Allemagne. Aux Etats-Unis, trois personnes de retour d'un voyage en Allemagne pourraient avoir été contaminées, selon un porte-parole des Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC).
La consommation de légumes était toujours en berne en Europe, mais, depuis que les concombres espagnols ont été innocentés mardi soir, le vecteur de transmission reste inconnu.
La Commission européenne a levé mercredi la mise en garde qui pesait sur les légumes espagnols, notamment le concombre, désigné coupable la semaine dernière par les autorités sanitaires de Hambourg.
Les dommages sont d'ores et déjà considérables pour l'agriculture espagnole, qui a vu ses exportations s'effondrer. L'Espagne réclame des "dédommagements pour les préjudices provoqués" et songe à une plainte contre les autorités de Hambourg.
Les Pays-Bas, l'Allemagne et le Portugal veulent aussi des aides à leur agriculture. Le président de la fédération allemande des agriculteurs, Gerd Sonnleitner, a parlé d'un manque à gagner hebdomadaire de 30 millions d'euros en Allemagne.
L'embargo décrété jeudi par la Russie sur les légumes en provenance de tous les pays de l'Union européenne n'a rien arrangé.
La Commission européenne juge "disproportionnée" cette réaction, appelant la Russie, qui importe pour environ 600 millions d'euros de légumes européens par an, à revenir sur sa décision.
Le temps presse pour trouver le vecteur de la contamination. Les chercheurs allemands, qui planchent depuis des jours sur des centaines d'échantillons, sont face à une tâche gigantesque.
Ce ne sera "pas facile", a déclaré mercredi le commissaire européen à la Santé John Dalli, ajoutant : "il faut demander aux gens ce qu'ils ont mangé".
L'incubation est d'une dizaine de jours avant que la maladie ne se déclare, précisent les experts de la Commission.
Les crudités, consommées en grande quantité en cette saison, les fruits, mais aussi la viande sont dans la ligne de mire des scientifiques.
Les recherches se poursuivent avec de nouveaux outils. L'Institut fédéral allemand pour l'évaluation des risques (BFR) a mis au point un nouveau test, en coopération avec des chercheurs français de l'Agence nationale de la sécurité sanitaire (Anses), pour détecter la bactérie dans les aliments.
La maladie se manifeste par des hémorragies du système digestif et, dans les cas les plus graves, par des troubles rénaux (syndrome hémolytique et urémique, SHU).
L'Allemagne déplorait jeudi plus de 2.000 cas, dont 500 qui se manifestaient par un SHU.

Lire la suite

Hannibal : le cauchemar de Rome

3 Juin 2011 , Rédigé par dcboghni.over-blog.com

A l’aube du troisième siècle avant l’ère chrétienne, le monde méditerranéen était dominé, en grande partie, par deux puissants Etats rivaux : Rome et Carthage. La première avait étendu son emprise sur l’Italie et quelques territoires en Europe, alors que la seconde était déjà reconnue comme la maîtresse de la mer Méditerranée occidentale, de ses côtes et de ses îles qu’elle disputait à la Grèce, autre puissance maritime qui imposait, surtout, son influence sur les contrées orientales de cette mer.

Contrairement aux Romains et aux Carthaginois, les Grecs (ou Hellènes) étaient minés par leurs rivalités internes, car divisés en plusieurs Etats-nations qui se jalousaient de façon constante, s’alliaient entre eux pour contrer d’autres Grecs et guerroyaient sans interruption la plupart du temps.
A l’ouest, Rome, fondée en 753 av. J.C., avait mis en place une organisation politique et militaire d’une rare efficacité, solide et durable et qui lui permis de dominer la péninsule, en balayant tout sur son passage, jusqu’à empiéter sur les terres carthaginoises et provoquer le conflit appelé les guerres Puniques.
Entre-temps, sur le versant méridional de la mer Méditerranée, se développait cette grande métropole, Carthage, fondée, elle, par des Phéniciens venus de Tyr (Liban) et emmenés par la princesse Elissa Didon, vers 814 av. J-.C., au nord-est de la Tunisie actuelle.
Très rapidement, cette ville portuaire connut un essor remarquable et devint probablement la plus grande cité de l’époque et habitée, selon des historiens, par un million d’habitants (chiffre certainement exagéré). Sa richesse, elle la tirait d’un arrière-pays riche, de sa position géographique, de son commerce, des tributs que lui payaient ses villes-colonies dessiminées un peu partout, de l’exploitation des métaux, en particulier le cuivre, le fer et l’étain des lointaines contrées (Maroc, Espagne, Portugal, Angleterre et dans plusieurs îles). Seul point faible : Carthage ne possédait pas une armée nationale, mais employait des milliers de mercenaires de différentes nations, et parmi eux, les Numides et leur cavalerie qui n’avait pas son pareille et jouissait d’une renommée incontestable. Cette situation lui a été fatale durant son conflit avec les Romains, conflit qui connut trois phases et appelé les guerres Puniques.
Hamilcar Barca et la première guerre Punique
(264-241 av. J-.C)
A l’aube du 3e siècle avant l’ère chrétienne, les deux grandes villes antiques étaient si développées qu’un conflit armé était à craindre pour l’une ou pour l’autre et les départager. Jusqu’alors, elles entretenaient des relations cordiales, faisant face aux Grecs qu’elles voulaient évincer de la région. Leurs ambitions devaient nécessairement les conduire à une confrontation directe d’autant plus que les Carthaginois, forts de leur emprise maritime, avaient pris pied dans les îles de la mer Tyrienne, la Sardaigne et la Sicile, très proches des côtes italiennes. Rome, jeune Etat fort et ambitieux, rêvait d’en découdre avec sa rivale pour s’emparer de toutes ses possessions et imposer sa suprématie sur le Bassin méditerranéen et sur tous les territoires alentours.
Un obscur conflit en Sicile entre des protagonistes locaux (l’un et l’autre allié à Rome, d’une part, et à Carthage, d’autre part) amena la guerre entre les alliés d’hier, et ce fut le déclenchement de ce qui fut appelé les guerres Puniques (du latin punicus qui signifie carthaginois ou une altération du mot phénicien).
Cette première phase dura 23 ans et se déroula en Sicile et en mer. Curieusement, la ville du Latium, puissance terrestre et sans expérience maritime, parvint à vaincre sur son terrain la maîtresse des mers qu’était Carthage qui dut se résigner à quitter la grande île après une série de défaites subies par sa flotte (notamment durant les premières années) à Mylae (260) et à Ecnome (256). Les Romains portèrent, alors, la guerre en Afrique du Nord par leur général Régulus qui subit une défaite cuisante à Utique (grand port, au nord de Carthage) et un statu quo militaire s’imposa aux deux belligérants, durant lequel émergea Hamilcar Barca.
Le père d’Hannibal parvint à redresser une situation dramatique (de 249 à 241) et défait ses adversaires plusieurs fois mais ne put éviter le désastre de la bataille navale des îles Aegates (241) qui mit fin à une guerre désastreuse et ruineuse, surtout pour la cité punique qui se résigna à signer un traité humiliant et à reporter ses efforts d’agrandissement dans la péninsule ibérique.
Mais le héros de cette guerre fit jurer à ses enfants, surtout Hannibal, de prendre la revanche sur Rome ultérieurement, quand sa patrie aura repris des forces suffisantes et sera capable d’écraser son éternelle rivale.
Hannibal, héros de la seconde guerre Punique
(218-201 av. J-.C)
Avant de poursuivre cette modeste narration de l’un des plus grands conflits de l’Antiquité, consacrons quelques lignes à ce héros de notre contrée que fut Hannibal. Celui-ci appartenait à une famille illustre de Carthage où il est né vers -247 quand son père guerroyait contre les envahisseurs romains. Il reçut une éducation exemplaire et grandit sous l’influence de la culture hellénistique et de l’exemple paternel, admirateur d’Alexandre le Grand et de ses conquêtes grandioses. Il accompagna, très tôt, son père Hamilcar en Espagne pour reconstruire la puissance et la richesse de sa patrie et reprendre la guerre contre Rome. A ses côtés, il s’initia rapidement à l’art de la guerre, démontrant des qualités rares comme le courage, la bravoure, l’intelligence, la sobriété, l’endurance et un grand sens des responsabilités envers ses soldats avec lesquels il partageait les dures conditions de vie et auxquels il montrait l’exemple à suivre. Pour cela, il était aimé d’eux et admiré malgré qu’ils soient issus d’horizons différents, car la plupart étaient des mercenaires recrutés par Carthage et ne se battaient que pour l’argent et le butin.
Quand, en -218, éclata la 2e guerre Punique, Hannibal était âgé d’une trentaine d’années et se trouvait en Espagne où il prit possession de la ville de Sagonte, alliée des Romains. Ces derniers s’empressèrent de déclarer la guerre aux Carthaginois car décidés d’en finir avec eux définitivement. C’est là qu’apparut le génie militaire d’Hannibal qui fit de lui l’un des plus grands généraux de tous les temps (au même titre qu’Alexandre le Macédonien, Gengis Khan, Salah Eddine el Ayoubi, Napoléon Bonaparte, et quelques autres qui se comptent sur le bout des doigts). Et pourtant, ce généralissime ne disposait pas de moyens énormes, ou de troupes rompues à la discipline militaire et moins encore de lieutenants capables de lui venir en aide (sauf, peut-être son frère et son beau-frère).
Expédition d’Hannibal en l’Europe méridionale
Hannibal est célèbre pour avoir conçu d’attaquer Rome non pas frontalement, mais en essayant d’en prendre possession par le nord de l’Italie, en suivant une longue courbe qui le conduisit de l’Espagne à travers les hautes montagnes des Pyrénées et des Alpes, après avoir traversé tout le sud de la France. Il avait à peine 90 000 fantassins, 12 000 cavaliers numides et une quarantaine d’éléphants qui semèrent la terreur parmi les légions romaines, pourtant valeureuses et disciplinées ! Ni le long trajet de milliers de km ni le froid et la neige, et encore moins la maladie et le manque de ravitaillement n’entamèrent sa volonté et sa fermeté. La tactique suivie surprit complètement les Romains et leurs alliés qui subirent des défaites cuisantes (Tessin, Trèbie, Trasimène, et surtout la bataille de Cannes, en -216) à tel point que ses adversaires adoptèrent une nouvelle stratégie qui consistait à éviter de se mesurer à lui directement mais à mener une guerre d’escarmouches qui fut payante par la suite.
Retournement de situation, solitude et mort d’Hannibal
Ayant subi beaucoup de pertes sans recevoir des renforts adéquats de Carthage, Hannibal commit, selon les historiens, une erreur fatale et inexplicable : au lieu de se diriger vers Rome et de l’occuper, il temporisa, ce qui permit à cette dernière de se ressaisir et de porter la guerre en Afrique du Nord par le général Scipion l’Africain qui assiégea Carthage. Celle-ci appela Hannibal au secours et il dût quitter l’Italie précipitamment et en désordre. Sur la plaine de Zama (centre de la Tunisie), eut la bataille décisive, en -201, qu’il perdit car les Romains s’étaient alliés à l’aguellid numide, Massinissa, désireux de s’affranchir de l’emprise punique et de fonder un Etat indépendant. Ses fameux cavaliers permirent aux Romains de remporter la victoire finale et d’imposer un traité de paix humiliant à leur rivale, qui stipulait, entre autres, de chasser Hannibal de sa patrie. Alors, il dut s’exiler en Bithynie (Turquie actuelle) où il se donna la mort quand il apprit que son hôte, le roi de ce pays, voulait le livrer à ses ennemis jurés, les Romains, en 183 av. J-C.
Trois décennies après sa disparition, les Romains menèrent une 3e guerre contre Carthage et la brûlèrent après un siège impitoyable de trois années. L’emplacement de cette ville glorieuse fut rasé et interdit à jamais à l’implantation humaine, mais son souvenir et celui d’Hannibal continuèrent, durant des siècles, de hanter la mémoire de Rome et de ses descendants tel un cauchemar angoissant.
hannibal_buste.jpg

Lire la suite

L’huile d’argan:Les remèdes beauté de grand-mère !!

3 Juin 2011 , Rédigé par dcboghni.over-blog.com

Elle est aussi préconisée pour les pellicules ou la chute des cheveux.


Répartissez l’huile argane sur l’ensemble de la chevelure de la racine jusqu’aux pointes. Massez doucement le cuir chevelu et brossez délicatement vos cheveux afin de bien répartir l’huile d’argan sur l’ensemble de la chevelure. Enveloppez les cheveux dans une serviette chaude et laissez reposer environ 20 minutes.
Si le temps vous manque, vous pouvez réduire le temps de repos en chauffant vos cheveux maintenus dans la serviette avec un sèche-cheveux.
Lavez ensuite vos cheveux avec votre shampooing habituel. Rincez soigneusement à grande eau. Vous pouvez ajouter un jus de citron à la dernière eau de rinçage. Pour terminer, déposez quelques gouttes d’huile d’argan sur vos doigts et malaxez les pointes.
Votre chevelure apparaîtra soyeuse, chatoyante et gonflée.
Pour les cheveux secs, déposez en petite quantité d’huile d’argan sur votre brosse à cheveux, elle leur donnera de l’éclat et de la brillance.


Pour une peau douce et hydratée...
Sur une peau préparée par un peeling doux, appliquez l’huile d’argan sur l’ensemble du visage et du cou.
Laisser reposer 15 minutes.
Terminez le soin en enlevant l’excès d’huile d’argane à l’aide d’un coton imbibé d’eau de fleur d’oranger ou d’eau de rose.
Ce soin laissera votre peau hydratée et adoucie.
Il vous permettra de lutter contre le vieillissement et les petites cicatrices laissées par l’acné ou la varicelle.

Lire la suite

La malédiction de Toutankhamon

3 Juin 2011 , Rédigé par dcboghni.over-blog.com

 

 

Toutankhamon est un nom qui vous est familier ? Pas étonnant car son histoire est internationalement connue. Pourquoi ? Parce que son tombeau est intact le jour de sa découverte par Carter le vendredi 17 février 1923. Et si vous le connaissez si bien, c'est aussi grâce à la fameuse rumeur qui l'accompagne, la malédiction de Toutankhamon qui aujourd'hui fascine encore. ?Mais ce récit est une légende contemporaine et pour mieux la comprendre, reprenons, depuis le début, cette histoire qui a fait de l'archéologie une science passionnante et mystérieuse
Découvertes maudites, malédictions divines, morts mystérieuses : comment les croyances populaires et la presse de l'époque ont réussi à créer de toutes pièces une histoire de malédiction qui, plus de 80 ans plus tard, est toujours évoquée

Les fondements de la légende
Il existe quelques versions de l'histoire de cette malédiction, mais certains faits communément rapportés sont eux très justes car validés par les carnets de notes que remplissait quotidiennement Howard Carter, l'archéologue qui a découvert le tombeau de Toutankhamon. Quelques passages-clés du mythe...

La peur de violer une tombe
Avant la découverte du tombeau, quelques membres de l'équipe de Carter, financée par Lord Carnarvon, commencent à se demander si leur quête est réellement fondée et s'ils ont droit de violer les lieux où les morts reposent en paix. Cette idée leur vient sans doute de leur propre culture et aussi du discours des ouvriers égypties qui travaillent pour eux. Sans cesse, ils leur répètent que s'ils trouvent de l'or ils trouveront aussi la mort?

l'Affaire du Canari
Howard Carter, jeune égyptologue déjà renommé, apporte sur le campement un canari dans une cage dorée. Le jour de l'ouverture du tombeau (une semaine après sa découverte), au matin, un cobra se glisse dans la cage et avale le canari. le cobra est considéré en Egypte comme un symbole divin et immédiatement, tout le monde y voit un très mauvais présage.

"l'inscription figurant dans le tombeau a été inventée par la presse"

l'anecdote du canari est un fait avéré, on lui a accordé une grande importance car les cobras sont très rares en egypte, surtout en hiver. rationnel et peu superstitieux, carter décide malgré tout de pénétrer le tombeau et ses différentes chambres.

pour l'archéologie de l'egypte, ce jour est a marquer d'une pierre blanche, il pénètre dans le richissime tombeau de toutankhamon, resté intact depuis sa fermeture.une inscription dissuasive et la première mort mystérieuse aux quatre coins du monde, la presse rapporte que les archéologues sont maudits mais prévenus par une inscription gravée à l'entrée du tombeau du pharaon, "la mort touchera de ses ailes celui qui dérangera le pharaon". puis seulement cinq mois plus tard, lord carnarvon décède brutalement à l'hôpital du caire, accompagné d'une étrange coupure d'électricté qui plonge la ville dans l'obscurité. s'ensuit une série de morts aussi violentes que mystérieuses.

une légende créée de toutes pièces

maladies foudroyantes, accidents intrigants, pour qu'une légende tienne son rang, il faut de l'inexplicable.

et la presse s'en est plus que largement chargé, c'est elle qui a monté cette pseudo-malédiction. tout d'abord, l'inscription tant diffusée n'a jamais figuré dans le tombeau, c'est une pure invention.mais ce mensonge n'a pas étonné car il est cohérent avec les avertissements des ouvriers égyptiens et il trahit les convictions de l'époque : pénétrer dans une tombe, même si le but poursuivi est scientifique, est un acte réprouvé par la morale et condamnable. L’explication scientifique morts surnaturelles, vengeance du pharaon, renaissance d'un virus âgé de plusieurs millénaires ?

De quoi sont morts les découvreurs de Toutankhamon ?

si malédiction il y a, pourquoi certains membres de l'équipe et les nombreux visiteurs ont-ils été épargnés ?

la réponse a été donnée en 1985, au cours de la restauration de la momie de Ramsès ii. Son analyse a mis en évidence la présence de champignons toxiques pour l'homme. or, grâce aux descriptions de l'archéologue carter, on sait que les chambres du tombeau étaient recouvertes de champignons qui rendaient l'air irrespirable. Au lieu d'une malédiction on devrait davantage parler d'une maladie des archéologues, la "pneumonie à précipitines", se traduisant par une pneumonie très grave. Donc le jeune pharaon Toutankhamon avait bien moins l'esprit vengeur que la presse de l'époque ! La malédiction de Toutankhamon a passionné de longues années.de nombreux romans s'en inspirent et le mythe reçoit toujours le même succès auprès du jeune public.mais l'Egypte et son histoire n'ont pas besoin de malédiction pour nous faire rêver.

Lire la suite
<< < 10 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 40 > >>