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Djurdjura Club de Boghni

Ali Zamoum:tamurth imazighen

16 Avril 2011 , Rédigé par dcboghni.over-blog.com Publié dans #Histoire de la ville de boghni

Ali Zamoum est né le 20 octobre 1933 à Boghni (Tizi Ouzou). Fils d’un des premiers instituteurs de la localité, il rejoint, avec son frère Mohamed (futur colonel Si Salah), l’école primaire de Boghni. Ali quitte l’école à l’âge de 11 ans. De retour au village Ighil Imoula, il fréquente les jeunes militants du Mouvement national, dont son frère deviendra au début des années 1950 secrétaire du centre municipal.

Ce dernier sera arrêté en 1953 pour avoir fourni au parti nationaliste de la logistique appartenant à l’administration coloniale. Après un an de prison, il sera libéré au moment de la préparation de la guerre d’indépendance. Fin octobre 1954, Ali Zamoum reçoit de Krim Belkacem un texte qu’il devait « reproduire en millier d’exemplaires ».

C’était la Proclamation du 1er Novembre. Le texte a été tiré à Ighil Imoula, qui fut ainsi le premier village à entrer en guerre contre l’occupant français. Au maquis au-lendemain du tirage de la Proclamation, Ali Zamoum sera arrêté en février 1955 à l’issue d’un accrochage dont a réchappé un groupe de résistants, dont les deux futurs colonels Ouamrane et Si Salah.

Ali Zamoum sera condamné à mort et incarcéré dans une dizaine de prisons, en Algérie et en métropole. Ses sept années d’incarcération, passées sous la hantise de l’exécution de la peine, seront consacrées essentiellement à la lecture et il découvrira des auteurs proches des mouvements révolutionnaires. A l’indépendance, il quitte l’Armée nationale (ALN), considérant que « le serment de l’Indépendance du pays a été accompli ».

Il sera nommé le premier préfet de Tizi Ouzou, mais ne restera pas longtemps à ce poste. Quelques années plus tard, il occupera des postes de responsabilité au sein de l’administration centrale, notamment au ministère du Travail, à partir duquel il soutiendra le travail de Kateb Yacine dans le cadre de « l’action culturelle des travailleurs ». À la retraite, Ali Zamoum mettra en place à Boghni l’association Tagmats qui œuvre dans le domaine de la l’action sociale. Il est l’auteur de Tamurt Imazighen. Mémoires d’un survivant 1940-1962, éditions Rahma, Alger, 1993.

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ESDEM 1 DCBoghni 0,Le leader tombe à draa el mizan

16 Avril 2011 , Rédigé par dcboghni.over-blog.com Publié dans #sport

Ce match de retrd de la 22 ém journée s'est achevé à l'avantage de l'ESDEM qui pourtant n'a rien montré si ce n'est l'erreur du gardien djoudi qui arretait le ballon avec sa poitrine au lieu de le faire avec ses mains comme tout autre gardien de but.ainsi sa couta chére au DCB  boghni  d'aller chercher un gardien pour la saison prochaine au lieu de ce gloglo!!

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La montagne du Djurdjura

16 Avril 2011 , Rédigé par dcboghni.over-blog.com Publié dans #tourisme

Djurdjura par Moh Tabèche

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Taekwon-Do ITF France,Stage technique à boghni

15 Avril 2011 , Rédigé par dcboghni.over-blog.com Publié dans #sport

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Sabumnim Kountchev et son assistant Bosabumnim Prot ont animé un stage technique de 2 jours à Boghni, en Kabylie.

Arrivés Jeudi en début d'après midi à Alger, nous sommes accueillis par Arezki Hadj-moussa, 2ème Dan ITF.

Il arbore un sourire éclatant qu'il ne quittera pas jusqu'a notre départ Dimanche matin et qui nous donne instantanément le sentiment d'être les bienvenus sur le sol Algérien.

Arezki est un garçon charmant; il nous entraine dans une rapide visite d'Alger puis nous invite à nous restaurer chez ses parents.

Nous sommes frappés de constater que tous les membres de sa famille affichent le même sourire radieux sur leur visage et leur générosité nous touche aussitôt.

Après un sublime repas nous voici sur la route de la Kabylie en direction de Tizi Ouzou.

La route est longue et piégeuse; l'infrastructure autoroutière est très abimée, peu sécurisante, mais Arezki semble très à son aise.

Nous arrivons enfin à Boghni après 4 heures de route et nous rendons directement au club de Taekwon-Do situé au cœur de la ville.

Nous rencontrons sur place ceux qui vont rapidement devenir nos amis, figures emblématiques de la scène locale et pionniers du Taekwon-Do ITF à Boghni.

A quelques mètres de la salle se trouve un magasin unique au monde: c'est une agence de télécom ITF !!!

En effet, au milieu des téléphones portables et autres gadgets portatifs, trônent des photos du général Choi et des grandes figures de l'ITF.

Le Taekwon-Do est omniprésent, on reconnait vite les passionnés ...

Mais il est déjà tard et nous partons ensemble partager un diner copieux dans un restaurant local.

Arezki nous hébergera chez lui pendant trois nuits et c'est fatigués mais heureux que nous allons nous coucher.

9h00 Vendredi matin, le stage commence, il fait 35° mais la chaleur n'a pas découragée les pratiquants; ils sont une quarantaine, impeccablement alignés à nous attendre lorsque nous pénétrons dans la salle d'entrainement.

L'ambiance est martiale, disciplinée et respectueuse; nous savons immédiatement qu'il faudra tout leur donner car eux sont prêt à tout donner.

Sabumnim Kountchev commence donc ce séminaire par une introduction inspirée sur la composition du Taekwon-Do et la symbolique du poing fermé, emblème de notre art martial.

Courtoisie, intégrité, persévérance, maitrise de soi, esprit indomptable ... mais aussi Daellyon (préparation physique), les techniques de base, les différentes formes de combat, les Tuls et enfin, le Hosinsul, la self-défense Coréenne.

Si un seul de ces exercices manque à la pratique alors le poing n'est pas fermé, la pratique incomplète, le poing est faible, le pratiquant est vulnérable.

L'objectif du séminaire est d'intégrer les Tuls dans la pratique de l'art martial, de comprendre leur utilité dans le conditionnement mental et physique du Taekwon-Doiste et leur application dans le combat total, en situation de self-défense.

Nous passons donc les premières heures de la matinée à poser les bases d'une technique puissante: décontraction profonde, utilisation des hanches et des épaules, mouvements de vague, transitions entre les positions de base.

Puis le travail des tuls, de Chon-Ji à Toi-Gye, dans les détails et la recherche de la puissance.

Les athlètes présents ont une technique qui, même si elle demande parfois à être corrigée, est d'une puissance surprenante.

Nous terminons cette première journée vers 17h00, très agréablement surpris d'avoir à faire à des athlètes si bien formés.

Mais nous ne sommes pas au bout de nos surprises ...

Dès le lendemain matin, après une joyeuse soirée au bord de la piscine (repas délicieux, bavardages, rires et Taekwon-Do), les athlètes improvisent une démonstration.

Et c'est un festival d'acrobaties et de techniques sautées extraordinaires qui nous est donné !

Nous restons pentois devant les enchainements de 4 apchagi sautés et de coups de pied en rotation à 360° ou plus (bituro chagi, dollyo chagi, duit et yop chagi)!

Puis nous reprenons le travail des Tuls pour conclure en début d'après midi sur Ge-Baek.

Nous avons le sentiment que ce travail intense sur les Tuls les a passionnés.

Le reste de la journée est consacré à un passage de grade.

Les athlètes se surpassent dans toutes les disciplines: tuls, combat libre, hosinsul, techniques spéciales et casse en puissance.

L'engagement est total, l'esprit martial, concentré, les corps sautent, frappent, vibrent dans une énergie qui est celle du Taekwon-Do.

Malgré quelques blessures, dont une sévère (un coude déboité sur une chute), les athlètes gardent toute leur motivation et on ne peut s'empêcher d'y voir l'âme des guerriers Hwa-Rang...

Un adolescent est déçu car nous lui refusons le droit de casser 4 énormes tuiles avec le poing, alors qu’il n’a jamais cassé avec cette technique (pour ceux qui connaissent nos petites tuiles Françaises, c’est à peu près l’équivalent de 12 tuiles de chez nous); un 1er dan insiste pour exécuter les techniques spéciales avec une cheville endolorie suite à une chute et réussie toutes ces touches dont un nopichagi à 2m50 de hauteur ; l’homme au coude déboité revient de l’hôpital sous les applaudissement de ces pairs et veut passer l’épreuve de la casse en puissance : « c’est le coude qui est déboité, pas le poing » nous affirme t’il !

Quelles leçons de courage, quel esprit, quelle hargne et quelle volonté !!!

Les résultats sont bien évidement excellents, un athlète réussi même son passage de deuxième Dan avec la note maximale (c’est l’homme a la cheville blessée).

Nous sommes persuadés que la participation aux championnats du monde d'une sélection Algérienne créerait la surprise et nous encourageons tous les Taekwon-Doistes présents à persévérer dans leur pratique.

Après une nouvelle soirée de fête, nous devons malheureusement quitter Bogni au petit matin mais nous promettons d'y revenir bientôt tant les personnes que nous y avons rencontré nous ont émue.

Nous gardons de ces quelques jours l'image de pratiquants à l'âme de guerrier, ceux qui dans l'adversité redouble de courage et de ténacité.

Nous les remercions donc du fond du cœur pour leur accueil et le partage dans la pratique de notre art martial.

Taekwon.

Jean-Sylvain Prot, II Dan ITF

http://taekwondo.over-blog.com/photo-372610-img-4006_jpg.html

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Farid ali

15 Avril 2011 , Rédigé par dcboghni.over-blog.com

: LA GRANDE CHANSON KABYLE MILITANTE DE LA REVOLUTION ALGERIENNE COMMUNE DE BOU-NOUH
Les chants de Farid Ali sont murmurés par les jeunes et les anciennes générations.

Sous le patronage de la ministre de la Culture et sous l'égide du wali de Tizi Ouzou, le comité des activités culturelles et artistiques de la wilaya de Tizi Ouzou, organise un colloque sur la chanson révolutionnaire. La Maison de la culture Mouloud-Mammeri de Tizi Ouzou, abrite en ces 17, 18 et 19 février ce colloque sur la chanson révolutionnaire et un hommage à feu Farid Ali. Un riche programme est ainsi mis sur pied avec un départ sur la commune natale de Farid Ali pour un dépôt de gerbe de fleurs sur la tombe du défunt et vers treize heures, c'est l'ouverture officielle de l'hommage qui comporte outre des conférences sur la chanson révolutionnaire, des évocations des chanteurs de la troupe artistique du FLN durant les années de braise et bien entendu une exposition permanente d'objets, de photographies, d'articles de presse autour de ces artistes engagés pour la libération nationale. A l'ouverture officielle et en présence des autorités dont le wali, c'est la veuve de Farid Ali qui a coupé le cordon et lancé ainsi officiellement les festivités. La voix de Farid Ali a porté la révolution et sa chanson phare, composée en une seule nuit A yemma azzizen ur ttru

(mère chérie ne pleure pas), a été durant les années de braise la compagne des maquisards et de toutes les familles algériennes. Farid Ali comme on l'a dit, de son vrai nom Khelifi Ali, est né le 09 janvier 1919 à lkhelfounene, dans la commune de Bounouh, daïra de Boghni. Il a étudié quelque temps chez les pères blancs et une fois le certificat d'études en poche, il quitta son village pour gagner son pain et donc débarqua à Alger en 1935, il y exerça le métier de cordonnier. Il fréquenta assidûment les Ali Oudarene et Ahmed Oumeri ces révolutionnaires qui furent surnommés à l'époque par les Français, bandits d'honneur. Dès la fin des années 1940, Farid Ali se retrouva à Paris comme de nombreux Algérienss à l'époque. C'est là que son nationalisme s'affina au contact des noyaux nationalistes dans l'émigration. Mohamed El Jamoussi, et Mohamed El Kamal puis par la suite Amraoui Missoum encouragent Farid Ali dans la voie de la chanson. Il s'engage ainsi dans la chanson et participe à deux récitals organisés par Mohand Saïd Yala à la salle Pleyel à Paris, en compagnie de Mohamed El Jamoussi. Farid Ali, qui gérait un café à Boulogne, noua des amitiés avec le monde artistique mais voilà qu'à la suite d'un attentat organisé en 1951 contre un responsable de l'ORTF, le chanteur fut soupçonné et expulsé de France. Il séjourna tantôt à Bounouh tantôt à Alger et activait au sein du PPA/ MTLD. Plus tard en 1956, il est arrêté à Bounouh et lors de son séjour dans les prisons, notamment à Draâ El Mizan où il connut les pires tortures. Libéré en 1957, il s'engagea dans la lutte libératrice. Durant l'été 1958, et avec d'autres artistes algériens, Farid Ali fit partie de la troupe artistique du FLN, une troupe qui sillonna aussi bien la Libye, la Chine, l'Egypte, le Maroc que la Yougoslavie. A l'Indépendance, Farid Ali rentre au pays, enregistra quatre disques à la maison Phillips, et prend en gérance un restaurant près de la rue Tanger (rue du Coq) à Alger. Farid Ali fit même de la prison en 1964 lors des problèmes politiques connus par le pays. Admis à l'hôpital de Boghni, Farid Ali rendit l'âme le 19 octobre 1981 à l'âge de 62 ans. Le président Chadli le décora à titre posthume le 5 juillet 1987. La poésie révolutionnaire s'est incrustée dans le tissu de la tradition poétique et aujourd'hui encore, les chants de Farid Ali, sont murmurés aussi bien par les jeunes que les moins jeunes.

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Akli yahiatene

15 Avril 2011 , Rédigé par dcboghni.over-blog.com

Jeudi 19 août 2010 4 19 /08 /Août /2010 12:53

Akli Yahiathene

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Moh said ouvlaid,la voix de l'errance

15 Avril 2011 , Rédigé par dcboghni.over-blog.com

 

La voix de l’errance
Qui, parmi nous, n’a pas sentit une extrême volupté en écoutant le cheikh Mohand Saïd U Belaid ? Ce ténor de la chanson kabyle, dont les œuvres demeurent à présent en vogue, est d’abord, un nationaliste, un militant de la première heure qui n’a ménagé aucun effort pour répondre à l’appel du devoir de Novembre 54.
De son véritable nom, Larbi Mohand Said U Belaid est né le 19 février 1923. Issu d’une famille nombreuse, ce chanteur tant adulé, avant de quitter son village natal Ath Smail, sis dans la daira de Boghni, a sillonné tous les villages avoisinants et même les plus éloignés.
En effet, après quelques années d’apprentissage du Coran et un bref passage à l’école primaire réservée aux indigènes, Mohand Said U Belaid a finalement opté pour le commerce des produits ruraux (l’huile, les figues sèches…) qu’il acheminait vers d’autres régions, pour revenir avec des biens que le village ne produisait pas.
En 1946, il n’avait que 22 ans lorsqu’il décida de prendre le chemin de l’exil, Malgré sa situation relativement aisée, sa soif de connaître les cieux les plus lointains l’avait poussé à prendre le bateau pour s‘établir chez son frère aîné, Ahmed déjà immigré.
Jusque-là, Mohand Said U Belaid qui éprouvait un sentiment fougueux pour la musique, n’avait pas pu s’introduire dans le milieu artistique de l’exil, et ce malgré ses rares brillantes sorties. Dans son premier enregistrement survenu en 1948, il traitait la séparation “Inas inas, xit yazran warsum yibas”, le nationalisme “Barkak nisit n chrav”.
En effet, dans cette seconde chanson, il exhortait ses semblables à ne plus s’adonner à la consommation de l’alcool, à s’attacher aux valeurs des leurs et s’insurger contre les délices de la déperdition.
Bien que ses chansons aient reçu un écho favorable, la maturité artistique de Mohand Said U Belaid, a été construite avec l’incontestable maître, feu Amraoui Missoum.
Depuis le début des années 50, la renommée de cet artiste n’a cessé de grimper les échelons. Dans son cercle circulaient les célébrités, Dahmane El Harrachi, Slimane Azem, Ahcene Meziani, Farid Ali, Akli Yahiatène…
Comme tous les chanteurs de l’immigration lui aussi, a vécu le déracinement et la morose séparation. Sa chanson (Ma tehfit à tine hamlagh) Souvient-tu mon amour?) disait long. Son amour pour la femme natale n’a pas de doute “takvaylit ac hal tazièen” Ô ! combien, elle est charmante, la Kabyle ! Pas de commentaire.
Durant son vivant, dans l’une des conversations qu’il nous a accordées, il disait : “Lorsque j’ai décidé d’enregistrer, Ma tchfit à tin hamlagh”, j’ai tout fait pour que ma femme soit de la partie. Hélas, elle a nettement refusé.
A l’époque le duo imaginaire est presque révolu. Mais par respect à ma femme que j’aimais terriblement, je me suis contenté de lui prêter ma voix. Elle avait une très belle voix”a-t-il souligné.
En 1953, c’est le retour au pays natal. Mohand Said U Belaid, qui avait l’amour de la patrie dans ses entrailles, a bien décidé de rejoindre le maquis. A Alger, il rencontre feu Krim Belkacem. Celui-ci, plus qu’insistant, lui impose de regagner l’exil. “La guerre contre l’occupant a besoin d’argent et des gens capables de se déplacer aisément en France” lui a-t-il ajouté.
Depuis cette entrevue, il se consacre à la Révolution. Il collecte les fonds, recrute les militants et son café devient le giron des nationalistes immigrés.
Après l’indépendance, le cheikh renoue avec la chanson. Avehri siwd assen slam, cette célèbre chanson qui ne cesse de bercer les générations, n’est qu’une de ses chefs-d’œuvre qui restera, sans doute, pour longtemps.
Ironie du sort. Interné pour un drame familial et après avoir purgé sa peine, Mohand Said U Belaid devient errant, d’un village à un autre. Guitare à la main, il ne cesse de ressusciter son passé riche, de chanter gratuitement pour un monde curieux et inflexible, comme au vieux beau temps, jusqu’en 1999 où un voyou, un faux drabki l’assassine, lâchement dans la plage, d’Azeffoun.
Mérite-t-il cette fin dans une Algérie pour laquelle il s’est sacrifié ?

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L'equipe du DCBoghni taekwando à tala guilef

14 Avril 2011 , Rédigé par dcboghni.over-blog.com Publié dans #sport

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par dcboghni.over-blog.com

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DCBoghni 2 KCT 0,la rage de vaincre du leader

14 Avril 2011 , Rédigé par dcboghni.over-blog.com Publié dans #sport

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ESDEm DCBoghni ce vendredi au stade boumghar

11 Avril 2011 , Rédigé par dcboghni.over-blog.com Publié dans #sport

Le match de retard de la 21 ém journée se jouera ce vendredi 15 avril au stade boumghar à drà el mizan.une victoire du DCB propulsera à coup sùr le club en regionale 2.

 

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